L’importance d’avoir un site web en Corse

L’importance d’avoir un site web en Corse

Depuis maintenant plusieurs années, avoir un site Web est essentiel pour les entreprises de toutes tailles et de tous secteurs. Cela est particulièrement vrai pour les entreprises opérant en Corse, qui attire chaque année un nombre important de touristes. Voici quelques raisons pour lesquelles avoir un site internet est primordial pour les entreprises en Corse.

1. Présence en ligne

La majorité des personnes utilisant Internet pour rechercher des produits et des services, avoir un site Web est un moyen efficace pour les entreprises d’établir une présence en ligne. Ceci est particulièrement important pour les entreprises en Corse, où les touristes sont susceptibles de rechercher en ligne des informations sur les entreprises locales.

2. Atteindre un public mondial

Un site Web permet aux entreprises d’atteindre un public mondial, ce qui leur permet d’attirer des clients du monde entier. C’est une carte très intéressante à jouer pour les entreprises en Corse, qui attirent des touristes de tous les coins du globe.

3. Visibilité accrue

Avoir un site Web permet d’augmenter la visibilité d’une entreprise dans les résultats des moteurs de recherche, ce qui permet aux clients potentiels de les trouver plus facilement en ligne. Ceci est particulièrement important pour les entreprises en Corse, où la concurrence peut être féroce.

4. Crédibilité améliorée

Un site Web d’aspect professionnel peut améliorer la crédibilité et la réputation d’une entreprise. Les clients sont plus susceptibles de faire confiance à une entreprise avec un site Web qu’à une entreprise sans site Web, en particulier à l’ère numérique d’aujourd’hui.

5. Marketing rentable

Un site Web est un outil de marketing rentable qui peut aider les entreprises à promouvoir leurs produits et services auprès d’un public plus large. Cela représente une très importante opportunité pour les petites entreprises en Corse, qui n’ont peut-être pas les ressources nécessaires pour investir dans des méthodes de marketing traditionnelles.

6. Présenter les produits et services

Un site Web permet aux entreprises de présenter leurs produits et services à des clients potentiels, en leur donnant une meilleure compréhension de ce que l’entreprise a à offrir. Il n’y a pas de limites aux descriptions, photos et avis que vous pouvez publier concernant vos produits et services.

7. Engagement client

Un site Web permet aux entreprises de dialoguer avec leurs clients en leur fournissant des informations, en répondant à leurs questions et en leur offrant une assistance. Votre site Web peut (et devrait !) vous faire gagner du temps en répondant à votre place aux questions fréquentes de vos potentiels clients.

En conclusion, avoir un site internet est indispensable pour les entreprises en Corse. Il permet aux entreprises d’établir une présence en ligne, d’atteindre un public mondial, d’augmenter la visibilité, d’améliorer la crédibilité, de s’engager auprès des clients et de présenter des produits et services.

Que vous soyez propriétaire d’une petite entreprise ou d’une grande entreprise, avoir un site Web est un moyen rentable de promouvoir votre entreprise et d’attirer des clients du monde entier. Donc, si vous ne l’avez pas déjà fait, il est temps d’investir dans un site Web et de faire passer votre entreprise au niveau supérieur.

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Empreinte écologique de votre entreprise : ce que vous pouvez faire pour la réduire

Empreinte écologique de votre entreprise : ce que vous pouvez faire pour la réduire

De nos jours, l’empreinte écologique est un sujet de préoccupation majeur dans le monde des affaires. Les entreprises sont de plus en plus conscientes de leur impact sur l’environnement et cherchent des moyens de réduire leur empreinte écologique. Dans cet article, nous allons examiner ce que vous pouvez faire en tant qu’entreprise pour réduire votre impact sur l’environnement.

  1. Réduire la consommation d’énergie L’une des premières choses que vous pouvez faire pour réduire l’empreinte écologique de votre entreprise est de réduire votre consommation d’énergie. Vous pouvez commencer par éteindre les lumières et les appareils électroniques inutilisés, régler la température du chauffage et de la climatisation à des niveaux raisonnables et installer des équipements écoénergétiques tels que des ampoules LED et des panneaux solaires.

  2. Réduire la consommation d’eau La consommation d’eau est également un domaine dans lequel les entreprises peuvent réduire leur empreinte écologique. Vous pouvez commencer par installer des équipements efficaces en termes de consommation d’eau tels que des toilettes et des robinets à faible débit, vérifier régulièrement les fuites d’eau et recycler l’eau autant que possible.

  3. Réduire les déchets Les déchets sont un autre domaine où les entreprises peuvent avoir un impact significatif sur l’environnement. Vous pouvez commencer par mettre en place des programmes de recyclage pour les papiers, les cartons, les bouteilles en plastique et les canettes, éviter les emballages excessifs, favoriser l’utilisation de produits réutilisables et offrir des solutions de compostage.

  4. Sensibiliser les employés Il est important que tous les employés soient conscients de leur impact sur l’environnement et des efforts de l’entreprise pour réduire son empreinte écologique. Vous pouvez organiser des formations, des campagnes de sensibilisation et des activités éducatives pour les employés afin de les encourager à adopter des comportements écologiques.

  5. Évaluer et réduire les émissions de gaz à effet de serre Les émissions de gaz à effet de serre sont l’une des principales causes du changement climatique. En tant qu’entreprise, vous pouvez évaluer vos émissions de gaz à effet de serre, identifier les domaines où vous pouvez réduire ces émissions et mettre en place des stratégies pour y parvenir. Cela peut inclure des mesures telles que l’utilisation de moyens de transport plus écologiques, la réduction des voyages d’affaires et l’optimisation des processus de production.
La réduction de l’empreinte écologique de votre entreprise est essentielle non seulement pour protéger l’environnement, mais également pour améliorer l’image de marque de votre entreprise. En adoptant des pratiques écologiques, vous pouvez montrer à vos clients, vos employés et vos partenaires commerciaux que vous êtes engagé dans la protection de l’environnement et que vous prenez votre responsabilité sociale au sérieux. En suivant les conseils énumérés dans cet article, vous pouvez aider votre entreprise à devenir plus écologique et à contribuer à un avenir plus durable.

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Obtenir le site web de son entreprise rapidement, c’est possible

Obtenir le site web de son entreprise rapidement, c’est possible

Ça vous est déjà arrivé de chercher une entreprise sur internet et de ne pas la trouver ? Qu’en avez-vous pensé ?

Cela donne un peu l’impression que cette entreprise n’existe peut-être pas vraiment, ou bien qu’elle n’est pas très efficace.

Pour une entreprise, avoir un site Internet est devenu un passage obligé. Pour le public, cela vous donne une crédibilité indispensable, mais c’est aussi un moyen pour vous de vous faire connaître davantage, de gagner du temps ou de vous établir comme spécialiste de votre domaine.

Si vous êtes déjà convaincu de l’utilité d’un site internet pour votre société, je suis sûre que vous vous posez une autre question : comment obtenir le site web de son entreprise rapidement ?

Selon moi, il y a 5 étapes à connaître, et nous allons les détailler :

  1. Connaître sa cible
  2. Préparer son contenu (images et textes)
  3. Choisir un CMS (content managing system) simple d’utilisation
  4. Choisir son hébergeur
  5. Choisir son thème graphique

1. Connaître sa cible


En principe, vous devriez avoir réfléchi à cette étape avant même de créer votre entreprise ! Si ce n’était pas le cas, voici quelques questions à vous poser :

  • Qui achètera mes produits/services ? Des particuliers ou des entreprises ? Des associations ?
  • En détail : tranche d’âge, sexe, catégorie socioprofessionnelle, lieu de résidence, habitudes de vie, de consommation, hobbies, pour les particuliers ; emplacement géographique, taille, régionale, nationale ou internationale pour les entreprises.
  • Distinguer l’acheteur de l’utilisateur final, comme notamment pour les enfants. Même si ce sont eux qui utiliseront vos produits/services, c’est en principe à leurs parents que vous devez taper dans l’œil 😉
  • Enfin, n’hésitez pas à coucher sur le papier le portrait robot de votre client idéal : imaginez UNE personne qui réunirait toutes les caractéristiques et qualités que vous attendez de vos clients (je creuse un peu plus ce sujet dans cet article).

2. Préparer son contenu (images et texte)

Soit vous créez votre site Internet vous-même, soit vous en confiez la réalisation à une entreprise, mais dans les deux cas, vous aurez besoin de le remplir !

Les images :
  • Afin de fluidifier la navigation de vos utilisateurs, vous devez absolument utiliser des images « légères » : faible résolution (72 DPI sont parfaitement suffisants pour une lecture sur écran, contrairement à une impression qui demande une meilleure résolution), des dimensions qui ne dépassent pas celles d’un écran d’ordinateur moyen (actuellement environ 1900 pixels de large), pour un poids n’atteignant pas, dans l’idéal, les 500Ko. C’est assez arbitraire comme chiffre, mais c’est pour vous donner une idée. Dans tous les cas, une photo sortie tout droit d’un appareil photo doit impérativement être optimisée avant d’être publiée sur le net, sans quoi, si elle ralentit votre site, vos utilisateurs pourraient bien être tentés d’abandonner leur visite… Attention ! Ne tombez pas non plus dans l’extrême inverse, une image très pixellisée ne vous apportera rien ! Si vous ne maîtrisez/possédez pas de logiciel de retouche d’image, vous pouvez optimiser vos photos en ligne sur TinyJPG.
  • Le format d’image à privilégier sur le web est le .JPG (ou JPEG, c’est la même chose). Pour info, le GIF est privilégié pour des animations, pas pour des images fixes (qui seraient très moches car limitées à 256 couleurs), le PNG est utile lorsque l’on a besoin de transparence dans notre image (si ce n’est pas le cas, évitez ce format car il est très lourd), le TIFF est utilisé en impression mais ce n’est pas non plus un bon choix pour du web.
  • Enregistrez vos images en leur donnant un nom qui pourra être utilisé par les moteurs de recherche, relatif évidemment à ce que l’image contient ! Oubliez les IMG20181126 😉

Recap : les images doivent être au format JPG, à une résolution de 72 DPI, d’une largeur de 1900 pixels max et d’un poids situé entre 50 et 500Ko.

Nommez-les correctement !

Le texte :
  1. Déterminez les rubriques de votre site (si vous ne savez pas, ne réinventez pas l’eau chaude : regardez ce que font les autres et inspirez-vous en).
  2. Déterminez les mots-clés relatifs à votre entreprise et à votre secteur d’activité. Pour vous aider, vous pouvez utiliser le service gratuit de Google « Tendance des recherches« .
  3. Rédigez ! Distillez vos mots-clés au fil du texte de chacune de vos rubrique. N’hésitez pas à les répéter ! Je vous conseille également d’utiliser un outil de traitement de texte tel que Word ou Open Office (gratuit) qui corrigeront vos éventuelles fautes d’orthographe.

Recap : les textes qui rempliront votre site internet doivent contenir tous les mots-clés relatifs à votre industrie, votre localisation, etc. Pensez à bien organiser vos rubriques, en créant par exemple un fichier texte par rubrique, et en rangeant tout cela correctement dans un dossier dédié à votre site internet sur votre ordinateur.


3. Choisir un CMS (content managing system) simple d’utilisation

Qu’est-ce que c’est que ça ?? Un CMS, c’est en quelque sorte le logiciel qui va vous permettre de créer votre site et de l’afficher sur internet.

Mon préféré : WordPress. En 2018, il « propulsait fièrement » un bon tiers des sites Internet existant dans le monde. Une valeur sûre, dotée d’une grande communauté de développeurs qui offrent aux utilisateurs tous les plugins dont on peut avoir besoin, et qui répondra à toutes les questions que vous pourrez vous poser. Dans un premier temps, il vous suffit de le télécharger sur cette page. Nous verrons plus loin ce que vous ferez de ces fichiers.

WordPress est très simple à utiliser. Si vous maîtrisez les logiciels de traitement de texte et êtes à l’aise avec l’informatique, vous ne devriez pas rencontrer de grandes difficultés.

S’il existe d’autres CMS, je n’en parlerai pas ici car :

  1. Je n’utilise que WordPress depuis que j’ai commencé à créer des sites web, et
  2. cet article a pour but de vous faire obtenir votre site web rapidement, alors on ne va pas s’étaler sur ce sujet 😉


4. Choisir son hébergeur

Qu’est-ce que c’est que ça ?? (bis)

L’hébergeur est l’entreprise qui possède les serveurs « physiques » qui vont contenir les données du site internet de votre entreprise. L’hébergeur vous fournit l’espace nécessaire à la création de votre site, et propose aussi, dans la plupart des cas, l’achat du nom de domaine (l’adresse de votre site, vous savez, ce qui suit le www.).

Hébergement et nom de domaine vont toujours ensemble, ce dernier ayant besoin du premier pour exister. Ceux-ci sont à renouveler chaque année (on peut aussi commander un abonnement plus long, jusqu’à 7 ans). Les tarifs des hébergements sont très variables. C’est comme dans la vraie vie : un studio coûtera moins cher qu’une ville 5 chambres avec piscine !

Si vous avez suivi mon conseil précédent et choisi WordPress, vous aurez généralement besoin de peu d’espace, donc le plus souvent le moins cher des hébergements.

Pour le nom de domaine, les prix peuvent varier selon le vendeur, mais ils sont fixes.

Pour ma part, j’utilise OVH. Je ne vais pas les encenser, il y a souvent des problèmes avec eux. Mais j’avoue que l’idée de changer d’hébergeur maintenant que j’ai une quarantaine de sites à gérer ne me fait pas très envie, alors je vais rester chez eux pour le moment.

Pour vous donner une idée des tarifs, pour un site WordPress hébergé chez OVH et un nom de domaine en .com, comptez annuellement 36€ HT pour l’hébergement et 10€ HT pour le nom de domaine, soit 55€ TTC/an pour le tout.

Vous pouvez chercher l’hébergeur de vos rêves via Google, des comparateurs vous aideront à faire votre choix, mais faites attention à ne pas choisir le moins cher, vous risqueriez de le regretter…

5. Choisir son thème graphique

Qu’est-ce que… non, je pense que vous comprenez de quoi on parle ici.

Le thème graphique, c’est le visage de votre site internet, son apparence mais aussi ses fonctionnalités.

Comme vous m’avez écoutée et que vous avez choisi d’utiliser WordPres (n’est-ce pas ?), vous allez pouvoir choisir parmi des millions de thèmes graphiques !

Mais comme il est question de faire ça rapidement, je vais quand même vous aiguiller un peu.

Vous pouvez trouver facilement des thèmes graphiques gratuits. Ils ne sont pas forcément mauvais, mais c’est comme tout : ils ont la valeur de ce que vous avez payé… Le problème avec les thèmes gratuits, c’est que si vous avez des difficultés à l’installer, ou si avec le temps vous rencontrez des problèmes (et vous en rencontrerez, ainsi va la vie virtuelle), vous n’aurez pas de service après-vente (ben non puisque vente il n’y a point eu) et vous serez peut-être obligé, à terme, d’en changer complètement.

Donc si vous voulez être tranquille, faites comme moi : achetez votre thème graphique professionnel sur ThemeForest. C’est une plateforme sur laquelle des milliers de développeurs proposent leurs produits, mais avec une exigence de qualité de la part des créateurs de ThemeForest qui permet d’être sûr d’obtenir un thème qui marche et dont le fonctionnement et la mise en place sont bien expliqués. Les thèmes sont classés par catégories (blog, corporate, créatif, e-commerce, divertissement, etc.) et vous pouvez consulter une démonstration avant de l’acheter. Les tarifs sont variables mais tournent en général autour des 50$.

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Les erreurs que commettent les nouveaux chefs d’entreprise

Les erreurs que commettent les nouveaux chefs d’entreprise

J’aime beaucoup les « to-do lists », ces listes de choses à faire. Mais aujourd’hui je vous propose une « don’t do it list », la liste des erreurs que commettent les nouveaux chefs d’entreprise. Si vous vous apercevez que vous en êtes coupable, arrêtez tout !


1. Vouloir tout faire soi-même

Personne n’est omnipotent, ni omniscient. Même si vous êtes doué dans beaucoup de domaines, on ne peut pas voir le recul nécessaire pour tout gérer tout le temps. Cela ne mène qu’au burn-out et au dégoût de l’entreprenariat. De plus, se sentir aidé, épaulé, est quelque chose dont on a tous besoin sur le long terme.

 

2. Ne pas prendre de temps pour soi

« Qui veut voyager loin ménage sa monture ». On le sait mais on a tendance à croire que ce n’est valable que pour les autres. Or, nous sommes les autres 😉 La santé, tant qu’on l’a, on la néglige. N’attendez pas d’être malade ou blessé pour prendre soin de vous, cela vous coûterait au final bien plus cher (et je ne parle pas que d’argent). Trouvez du temps pour pratiquer une activité sportive régulièrement, mangez correctement, dormez autant que vous en avez besoin, et passez du temps avec les gens que vous aimez. Et je ne saurais que trop vous conseiller de faire des câlins à des chats ou encore de prendre un bain de chiots…


3. Compter ses heures au lieu de son plaisir

Comment mesurez-vous votre succès ? À l’argent accumulé à la banque ? Imaginez-vous sur votre lit de mort (oui je sais, on n’aime pas penser à ça), comment jugerez-vous votre réussite ? Sur des critères financiers ou par le plaisir que votre entreprise vous aura procuré ? Mesurez votre succès à l’aune de votre joie.

 

4. Les économies de bouts de chandelle

Vous avez remarqué ? Souvent, quand on veut économiser de l’argent sur de petites choses, on finit par en dépenser encore plus que si on avait choisi la solution payante en premier lieu. Sans parler du temps perdu et de l’énergie gâchée à faire quelque chose que l’on n’aime pas ou ne sait pas faire. Par exemple, en tant que graphiste dans la communication, je vois souvent arriver des clients qui ont « essayé » de faire leur pub eux-mêmes, qui ont passé des jours et des nuits à essayer de résoudre un problème technique que j’aurais pu leur épargner en quelques heures, voire minutes. Pensez à votre « taux horaire », ce que vous coûte votre temps, et faites le calcul, après des jours de galère… quand un professionnel aurait pu libérer votre temps et votre joie de vivre 🙂

 

5. Ne pas s’écouter

Saviez-vous que nos intestins abritent autant de neurones que notre cerveau ? On a souvent l’impression de ressentir des choses dans notre ventre, et ce n’est pas pour rien. C’est aussi souvent dans cette partie de notre corps que l’on ressent le stresse, l’angoisse. On parle de « ventre noué ». Notre ventre influence nos émotions, comme expliqué dans cet article. Et le plus souvent, notre intuition nous indique quel chemin suivre. Il faut vous faire confiance et écouter cette petite voix ! C’est votre boussole, elle sait parfaitement ce qui est bon ou pas pour vous.

 

6. Voir ses concurrents comme des ennemis

Certes, vous vendez les mêmes produits ou services, certes votre cible est – a priori – la même. Pourtant, vos concurrents ne sont vos ennemis que si vous le décidez. Vous avez le choix de les voir comme un atout :

  • Ils ont probablement commis des erreurs à leurs débuts, tâchez de découvrir lesquelles afin de ne pas les faire vous-même ;
  • La compétition nous pousse à nous dépasser, à proposer toujours plus de nouveautés à nos clients ;
  • Ils peuvent même devenir des partenaires, si vous décidez de les voir comme tels.

Bien sûr, lorsque l’on débute, on a besoin de sortir du lot. La première chose à faire pour se distinguer de ses concurrents, c’est d’être soi-même. Je vous explique en détaildans cet article comment faire de la publicité pour son entreprise en se distinguant de ses concurrents.

 

7. Sous-estimer l’importance de son réseau

Le « networking » est un terme à la mode, mais c’est surtout une pratique à mettre en place dès le début de son activité. En vous créant des relations, votre activité se développera plus rapidement que si vous restez seul(e) dans votre coin. Pour cela, pensez à intégrer des espaces de coworking (même si c’est seulement un ou deux jours par semaine) ou encore à vous rendre à des formations ou rencontres organisées par les organismes consulaires comme les CCI. Bien sûr, il s’agit de créer des relations saines, honnêtes et de partage avec les entrepreneurs qui sont, comme vous, à la recherche d’un réseau professionnel et de notoriété. Intéressez-vous réellement aux personnes que vous rencontrez, ne cherchez pas à vendre votre produit ou service à tout prix, cela vous desservirait.

 

8. Ne pas impliquer / former ses employés

Avoir des employés est sans doute l’un des aspects les plus délicats de l’entreprenariat. Vous vivez pour votre entreprise, dans votre tête cela ne s’arrête jamais, impossible de laisser totalement les dossiers au bureau et de tout oublier une fois la porte claquée. Mais pour vos employés, ce n’est évidemment pas la même chose. De nos jours, les salariés sont encore plus intéressés par le plaisir qu’ils prennent à faire leur travail que par le salaire qu’il leur rapporte. Pour les motiver, vous pouvez organiser des séminaires d’entreprise, afin de resserrer les liens entre employés, mais aussi avec vous. Pensez aussi à la formation continue : c’est toujours valorisant de développer ses compétences et de pouvoir apporter de nouvelles aptitudes à l’entreprise dans laquelle on passe, quand même, 1/2 de sa vie ! De plus, vous pourrez ainsi les faire évoluer et leur faire passer l’envie de vous quitter…

Pour les formations en graphisme / communication que je propose, vous trouverez plus d’informations sur cette page.

 

9. Avoir peur de se faire piquer ses idées si on les dévoile

L’imitation est la plus sincère des flatteries ! Si vous parlez d’un projet, que ce soit en privé ou sur les réseaux sociaux, et que quelque temps plus tard, vous voyez qu’un concurrent s’en est emparé et le fait sien, vous serez énervé(e), oui, sans doute. Mais ce sera au moins la preuve que c’était une bonne idée, et cela peut même vous servir, en laissant cet indélicat personnage se planter à votre place, vous permettant ainsi d’ajuster votre idée avant de vous lancer.

Mais surtout, il y a finalement peu de chances que cela se produise. En fait, c’est même souvent le contraire qui arrive : si vous faites part de vos projets à des personnes de confiance, ou même au grand public, les retours que vous aurez pourront vous aider à affiner votre idée et la rendre plus performante. C’est la puissance du « cerveau collectif », ainsi que l’appelait Napoleon Hill (je vous recommande d’ailleurs la lecture de son livre « Réfléchissez et devenez riche »).

 

10. Ne faire ça que pour l’argent

Le but de votre entreprise est de gagner de l’argent ? C’est tout ? Vous allez vous planter. Ce n’est pas, ça n’a jamais été, et ça ne sera jamais une motivation suffisante pour vous faire sortir de votre lit le matin. On crée une entreprise pour résoudre le(s) problème(s) d’autres personnes. Ou pour aider une cause à laquelle on tient. Si vous ne savez pas quel est votre « pourquoi » ou si vous pensez que seul l’argent peut vous motiver, je vous invite à visionner cette conférence TED de Simon Sinek (en anglais). Les gens n’achètent pas ce que vous vendez, ils achètent le « pourquoi » vous le vendez.

 

11. Penser que son produit/service s’adresse potentiellement à tout le monde

Tout le monde n’existe pas. Comme le Père Noël (j’espère que vous le saviez déjà, ça, quand même !). Une connaissance parfaite de sa cible est l’une des principales clés de la réussite de son entreprise. Définissez votre client idéal (tranche d’âge, sexe, catégorie socioprofessionnelle, revenus, situation familiale, lieu de vie, hobbies, ce qu’il lit, ce qu’il écoute comme musique, où il sort pour se divertir…) et ne vous adressez qu’à lui dans vos communications. Votre marketing doit lui parler à lui et à lui seul. Alors vous pourrez capter la seule audience qui sera prête, et même heureuse, de payer pour ce que vous proposez. Un client qui se sent compris est un client fidèle.

Si vous avez déjà expérimenté l’une de ces erreurs, ou si vous en connaissez d’autres, partagez votre expérience en commentaire !

Photo d'illustration : Andre Neel - Unsplash

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Faire de la publicité pour son entreprise en se distinguant de ses concurrents

Faire de la publicité pour son entreprise en se distinguant de ses concurrents

[vc_row][vc_column][vc_column_text]En tant qu’entrepreneurs, nous avons tous des concurrents, et le souhait de s’en démarquer. Quand on débute, on a besoin de se faire connaître et de s’affirmer comme « différent » de ses homologues. Si l’on est en place depuis longtemps, on cherche à ne pas se faire oublier du public ni dépasser par les nouveaux arrivants. Alors comment faire de la publicité pour son entreprise et se distinguer de la concurrence ?[/vc_column_text][vc_column_text]

Vous êtes unique.

L’activité de votre entreprise ne l’est sans doute pas, mais vous oui. Que vous soyez un coiffeur, une coach sportive, ou un dentiste, vous faites le même métier que beaucoup de gens, mais vous le faites différemment, parce que c’est vous, et qu’il n’y en a pas deux comme vous, d’ailleurs il n’y aura plus jamais sur Terre le(a) même que vous. JAMAIS. Pensez-y !

Si je vous dis ça, c’est parce que la première chose à faire pour se distinguer de ses concurrents, c’est d’être soi-même. On peut être tenté d’imiter, voire de copier ceux que l’on juge comme ayant plus de succès que nous, mais c’est le piège dans lequel il ne faut pas tomber, parce que ses conséquences seront l’exact opposé de l’effet souhaité.

En étant toi-même, tu as mis quelque chose de merveilleux dans le monde qui n’existait pas auparavant. – Edwin Elliot

Lorsque l’on copie quelqu’un, personne n’est dupe. Le public s’en rend bien compte, et au lieu de devenir cet autre, on devient son ombre pâle et pathétique. Et ça, on ne veut pas.

C’est pourquoi dans chaque message que vous diffusez publiquement, que ce soit sur les réseaux sociaux, dans la presse, à la radio, sur des panneaux géants, vous devez mettre un peu de vous-même. On ne parle pas ici de raconter sa vie, mais d’utiliser tout ce qui fait que vous êtes vous. Y compris (je dirais même : surtout) vos faiblesses. Transformez-les en forces, en rappelant ainsi au monde que vous êtes humains. Et donc accessible. Ça rend tout de suite plus sympathique 😉

Mettez dans votre marque tout ce qui vous caractérise : votre personnalité, vos tocs, vos bizarreries, vos habitudes, vos histoires, vos valeurs.

Et si vous avez du mal à vous définir, voici quelques pistes pour vous aider :

  • Demandez autour de vous quelles sont vos 3 principales qualités ;
  • Faites une liste de 10 choses que vous aimez, qui vous passionnent, même si elles vous semblent « bizarres » ;
  • Faites le test de personnalité Gallup ;
  • Trouvez au moins 5 histoires marquantes dans votre vie, qui expliquent pourquoi vous en êtes là où ou vous en êtes aujourd’hui. « Les faits racontent, les histoires vendent » : personne sur la planète n’a vécu les mêmes choses que vous, donc personne ne peut copier vos histoires.

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Connaissez votre audience.

Qui a besoin d’un flyer de plus sur le pare-brise de sa voiture ? Nous sommes continuellement harcelés d’images et y prêtons donc forcément de moins en moins attention. Sortir du lot est donc devenu plus ardu, malgré la multiplication des canaux de communication.

Un flyer A5 sur papier glacé 130g, avec plein de texte dessus, soyons réalistes, ça n’a quasiment pas d’impact. On en a trop vu, et ils sont souvent bien trop remplis de toute façon pour que quoique ce soit de notable en sorte (je vous parlerai de la peur du vide très bientôt).

De plus, au-delà du support en lui-même, son mode de diffusion laisse à désirer : aucun ciblage n’est jamais fait, puisqu’il semblerait que tout possesseur de véhicule soit une cible potentielle pour la majorité des entreprises. Pourtant, ce n’est pas un critère réaliste. Et pour qu’une action de communication soit efficace, il faut commencer par réaliser un bon ciblage.

Savez-vous qui achète ou est susceptible d’acheter vos produits ou services ? Si la réponse est non, arrêtez tout, et penchez-vous sur le sujet tout de suite !

La plus grosse erreur que l’on puisse faire lorsque l’on communique, c’est de vouloir parler à tout le monde. Aucun produit sur Terre n’est adapté ou ne plaira à tout le monde. Aucun !

En essayant d’adapter votre discours à toute la population, vous réduisez fortement vos chances de toucher les personnes qui vous intéressent. Celles-ci ne se reconnaissent pas dans vos mots, puisque vous ne les avez pas écrits pour elles. En délivrant des messages « universels », on tombe à coup sûr dans le « moyen », le « bof », le « tiède », bref, l’ennuyeux. Qui veut être ennuyeux ? Et surtout, qui est attiré par du moyen tiède ? Voilà. Personne.

Image très réaliste d’un chat qui voit un message publicitaire adressé à « tout le monde ».

Votre mission est donc de définir clairement à qui vous voulez vendre vos services ou vos produits. Créez un personnage en choisissant si c’est un homme ou une femme, en lui donnant un prénom, et en décidant de son âge, de la couleur de ses yeux, de ses cheveux, son statut matrimonial, s’il/elle a des enfants, si oui de quel âge, où il/elle vit, ses revenus annuels, son métier, ses livres, films, magazine, chansons préférés, ce qu’il/elle fait de son temps libre, qui sont ses idoles, etc.

Une fois conçu cet avatar de votre client idéal, tâchez de toujours l’avoir en tête lorsque vous communiquez au sujet de votre entreprise, et imaginez que c’est à lui et à lui seul que vous parlez.

Non, cela ne vous fermera aucune porte : au lieu d’envoyer un message dilué et tiède à tout le monde, et qui ne sera réellement reçu par personne, vous toucherez profondément les personnes susceptibles d’êtres intéressées par vos produits ou services.[/vc_column_text][vc_column_text]

Les supports de communication

Les imprimeurs, qui, eux aussi, doivent se démarquer de la concurrence, font de gros efforts pour produire de nouveaux articles qui vous aideront à affirmer votre différence.

Je vous livre ici quelques idées, dans une liste non exhaustive et qui s’étoffera avec le temps, au fur et à mesure des innovations technologiques.

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La classique carte de visite… revisitée

Si vous aimez la pâtisserie, vous avez peut-être suivi l’émission de Cyril Lignac, « Le meilleur pâtissier », dans laquelle il était souvent demandé aux candidats de « revisiter » une recette classique. C’est une façon de sortir du cadre, en proposant un produit classique, voire nécessaire, mais exécuté de façon différente, afin de surprendre et de capter l’attention. Et donc, de se démarquer de ses concurrents.

En 2016, une cliente organisatrice de voyages m’a confié la création de son logo, de son site Internet et de ses cartes de visite. J’ai donc conçu ces dernières comme des étiquettes de valise, un peu à l’ancienne car ma cliente propose des séjours pendant lesquels on prend le temps d’explorer.

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Publicité sur lieu de vente

Si vous vendez des produits, pourquoi ne pas faire de la publicité sur lieu de vente (PLV) ?

En vous affichant chez vos détaillants, vous augmentez vos chances d’être connu et choisi par les clients de passage, comme les habitués.

Par exemple, j’ai créé en 2014 une toile décorative pour le whisky P&M, dont je venais de refaire l’étiquette. Les propriétaires du Domaine Mavela voulaient offrir un objet décoratif au bar bastiais le « Flying Circus », qui propose le fameux whisky corse à ses clients. Le résultat ? Une toile pop qui s’accorde à l’esprit et à la décoration existante du bar, ce qui pousse ses gérants à l’accrocher au mur et ainsi promouvoir le P&M :

Attention : il s’agit bien ici de proposer un graphisme que votre client aura envie d’afficher, de créer une vraie « œuvre » autour de votre produit, qui soit aussi en adéquation avec l’esprit et le style du lieu de vente dans lequel vous souhaitez qu’il soit présent.

Dans le même esprit, on peut penser aux sous-bocks, aux coussins, aux tabourets en carton…[/vc_column_text][vc_column_text]

L’habillage de véhicule

Vous avez l’impression de passer votre vie dans votre voiture, allant à la rencontre de clients et de prospects ? Profitez-en pour faire voyager l’image de votre entreprise.

Mais attention à la conception de votre habillage : gardez à l’esprit que, sauf quand vous serez garé, on ne vous verra que quelques secondes.

Il faut donc :

  1. Être lisible de loin
  2. Marquer les esprits

Pas d’autocollant de la taille d’une feuille d’imprimante sortie tout droit de Word, avec le nom de votre entreprise écrit en pattes de mouche.

Pensez plus grand, littéralement, comme sur cet exemple qui réunit bien nos 2 critères précités :

habillage véhicule publicitaire[/vc_column_text][vc_column_text]

Tout est dans le graphisme

On peut tout à fait sortir du lot avec un support classique. Le visuel sera alors l’atout majeur de votre communication.

Pour marquer les esprits, « less is more », tout simplement parce que face à la quantité monstrueuse d’informations que l’on doit avaler et digérer chaque jour, un visuel qui nous donne de l’air, on s’y attarde !

Par exemple, ces deux affiches mettant en scène un produit de façon élégante, sobre et reposante :[/vc_column_text][vc_masonry_media_grid element_width= »6″ grid_id= »vc_gid:1525895098230-45e20cbd-8e14-7″ include= »7192,7193″][vc_column_text]

Le diable est dans les détails

Petits détails, grands effets : on peut rendre original et marquant un support de communication a priori banal. Pour cela, pensez aux différents sens qui sont stimulés lorsqu’une personne réceptionne ce support.

Par exemple, une simple carte de visite peut surprendre la personne à qui vous la donnez car entre ses doigts, elle sent un relief auquel elle ne s’attendait pas.

Le gaufrage est une technique qui permet de mettre en avant certains éléments d’une composition imprimée. C’est ce que j’ai choisi pour mon logo sur ma carte de visite :

carte de visite gaufrage

Il existe même des pinces à sec, qui permettent d’appliquer un gaufrage sur n’importe quelle feuille. L’occasion d’ajouter une touche d’originalité à tous les documents papier que vous envoyez, et ainsi sortir encore un peu plus du lot en utilisant le sens du toucher, auquel vos concurrents n’ont peut-être pas pensé…[/vc_column_text][vc_cta h2= » » h4= »Connaissez-vous d’autres façons de vous distinguer de la concurrence ? »]N’hésitez pas à partager vos idées dans les commentaires ![/vc_cta][vc_column_text]

Photo de haut de page : Cristina Gottardi

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Prêts à sortir du lot ?

Contactez-moi !

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