10 raisons de choisir un(e) graphiste freelance quand on est un(e) jeune chef d’entreprise

10 raisons de choisir un(e) graphiste freelance quand on est un(e) jeune chef d’entreprise

Vous avez créé votre entreprise et avez maintenant besoin de lui donner une image et de la faire connaître.

Pour créer votre logo, identité visuelle, charte graphique, site internet, vos flyers, prospectus, dépliants… vous êtes à la recherche d’un professionnel de la communication. Vous faites alors face à 2 possibilités : passer par une agence de communication ou bien faire appel à un graphiste indépendant, un « freelance ».

Pour avoir travaillé 3 ans en agence de communication à Bastia avant de devenir freelance en 2010, je peux vous parler de différences significatives que j’ai rencontrées :

1. Le graphiste indépendant coûte généralement moins cher qu’une agence

La raison principale est simple : un freelance n’a pas besoin de bureaux et paie moins de charges sociales, selon le statut choisi. La différence de tarif en résultant est bien souvent très conséquente : il n’est pas rare qu’une agence facture deux fois plus qu’un indépendant !

 

2. Le graphiste freelance travaille vite

Comme évoqué plus haut, l’indépendant a moins de charges qu’une agence de communication, ce qui fait qu’il a également besoin de moins de clients. Vous serez donc servis plus rapidement. Je me souviens, lorsque je travaillais en agence, d’un client qui attendait son logo depuis… 1 an ! En ce qui me concerne, la livraison d’un logo intervient en moyenne moins d’un mois après commande…

De plus, la réalité fait qu’un freelance prend généralement moins de congés qu’un salarié d’agence de communication, ce qui évite de prolonger votre attente.

 

3. Le graphiste freelance travaille bien

Seul maître à bord, il ne pourra pas faire rattraper son travail par un collègue ! De plus, la qualité du travail d’un graphiste indépendant est sa seule vraie carte de visite. Sa réputation est en jeu à chaque projet, avec chaque client. Pas le droit à l’erreur ! Il fera tout pour vous satisfaire.

 

4. Le graphiste indépendant est passionné

Ce n’est pas un métier que l’on choisit par hasard ou parce qu’on ne sait pas quoi faire d’autre. Et si l’on a travaillé en agence de communication, on se rend vite compte que l’on est bridé par des supérieurs qui n’ont pas forcément la même conception de la créativité.

Ma décision de devenir indépendante en 2010 a été en grande partie motivée par ce besoin que j’avais de pouvoir proposer à mes clients mes créations telles que je les envisageais, sans qu’elles aient à passer par le filtre frileux et conventionnel de quelques personnes mues par la crainte de ne pas plaire…

De plus, la motivation d’un graphiste indépendant sera toujours plus importante que celle d’un employé d’agence payé au lance-pierre qui ne fera que le minimum qu’on lui demande, sachant le manque de reconnaissance qui l’attend.

 

5. Le graphiste freelance est votre interlocuteur unique

Étant la seule personne s’occupant de votre projet, il en connaît tous les détails. Vous ne serez pas filtré par une secrétaire, ou vous n’aurez pas à réexpliquer 3 fois ce que vous souhaitez à un chef de projet qui débarque ou au graphiste remplaçant celle qui s’occupait de vous avant son congé maternité…

 

6. Le graphiste indépendant est flexible et mobile

Maître de son emploi du temps et le plus souvent sans bureau fixe, votre graphiste freelance sera plus à même de se déplacer pour vous rencontrer, sans avoir à organiser cela des semaines à l’avance avec sa direction…

 

7. Le graphiste freelance a souvent un réseau de professionnels indépendants

Même si la plupart des graphistes indépendants sont multi-tâches et savent gérer des projets multimédia, il y a beaucoup de métiers qui gravitent autour de son activité : photographie, développement web, montage vidéo… Il y a de fortes chances pour que votre entreprise ait un jour besoin de ces compétences, et votre graphiste indépendant peut vous mettre en relation avec des pros. Un gain de temps pour vous !

 

8. Le graphiste indépendant est plus appliqué

Comme nous l’avons vu précédemment, une agence de communication a besoin de beaucoup plus de clients qu’un graphiste indépendant pour se maintenir à flots, ce qui implique aussi d’avoir moins de temps à consacrer à chaque projet. Lorsque j’étais employée en agence, j’avais parfois l’impression de travailler à la chaîne : « Flora, tu as une heure pour faire ce logo ! ». Même si le travail dans l’urgence peut parfois donner de bons résultats, je préfère quand même prendre le temps de faire quelque chose de réfléchi, qui a du sens. Et seul le statut d’indépendant permet cela.

 

9. Le graphiste freelance est plus audacieux

Lorsque l’on travaille pour soi et que notre réputation est tellement importante dans notre carrière, on veut faire toujours mieux, innovant, différent, afin de ne pas se faire dépasser par les « nouveaux », qui débarquent toujours plus nombreux sur le marché des freelance. Cette compétition, saine, nous oblige à oser, à sortir de notre zone de confort. Donc si vous voulez de l’originalité, faites appel à un graphiste indépendant.

 

10. Un graphiste freelance se cache peut-être dans une agence

Si malgré ces 9 bonnes raisons, vous décidiez quand même de confier vos projets de communication à une agence, sachez qu’il se peut très bien que celle-ci sous-traite ses projets à un freelance ! Mais elle vous facturera sa commission au passage…

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« Ùn ti scurdà di a filetta »

« Ùn ti scurdà di a filetta »

Mon 1er montage photo 😊 je devais avoir 12 ans, je ne savais pas que le métier de graphiste existait mais je m’amusais énormément avec Corel Photo House 😁 Ici mon père et moi à Miami (en 1998 je rêvais déjà de 🇺🇲). L’arrivée d’un ordinateur dans notre maison a sûrement changé ma vie. Ça ne paraît pas grand chose aujourd’hui mais à l’époque, c’était un sacré investissement pour ma famille. Un mois du salaire de maçon de Papa. Je crois qu’on peut dire que ça a payé 😉 💕 #MerciPapa Mais cela aurait pu se passer différemment pour moi ! Au lycée, peu avant de passer le Bac, j’ai eu un entretien avec une « conseillère d’orientation », à qui j’ai dit aimer 3 choses : l’anglais, l’informatique et le dessin. Rétrospectivement, ça paraît simple, non ? Et bien, je n’étais pas la seule à ne pas avoir connaissance du métier de graphiste, apparemment, puisque ce que me conseillait la « conseillère », c’était de devenir prof d’anglais… Heureusement pour moi, j’ai écouté mon cœur et me suis dirigée vers des études d’art et ce n’est encore qu’en 2e année, à 18 ans, que j’ai découvert le métier qui allait devenir le mien. Mieux vaut tard que jamais ! Ce qui est certain, et que j’ai toujours su et toujours été capable d’appliquer à ma vie, c’est qu’il faut s’écouter. La petite voix intérieure sait toujours ce que l’on doit faire, vers quoi se diriger. Ce ne sont pas « les autres » qui peuvent le savoir mieux que nous !

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Protection des animaux : comment aider les animaux quand on est déjà très occupé(e)

Protection des animaux : comment aider les animaux quand on est déjà très occupé(e)

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Aujourd’hui, j’ai fait euthanasier un chat que je ne connaissais pas.

J’étais chez mes parents, comme tous les dimanches. Un chat très mal en point est entré dans le jardin, s’est couché à côté de la gamelle – pleine – de notre chien, sans même y prêter attention. 2 jours plus tôt, il nous avait déjà rendu visite et nous l’avions nourri, il paraissait moins abimé. Mais aujourd’hui, il a mis ses derniers efforts dans le franchissement de la clôture. Pourquoi est-il venu chez nous ? Nous ne le saurons jamais.

Pas sauvage, il s’est facilement laissé attraper et mettre dans une caisse de transport. Direction la clinique vétérinaire. En dimanche. Personne sur place, j’appelle le vétérinaire de garde, il sera là dans 20 minutes. Constatant son état manifeste de fin de vie, nous décidons d’abréger ses souffrances. D’après le docteur, le chat aurait été victime d’un automobiliste. Ses organes ne se trouvaient plus là où ils devaient être, la pauvre bête ne pouvait plus s’alimenter depuis sûrement longtemps déjà.

Mettre fin à l’agonie d’un animal est un choix difficile. D’autant plus que les animaux se plaignent peu de la douleur. Contrairement aux humains qui geignent pour un ongle retourné ou un rhume, les animaux montrent peu leur souffrance. Ils préfèrent se cacher pour mourir discrètement.

J’avais prévu l’écriture de cet article depuis quelques semaines déjà (mode procrastination : activé), mais ce funeste hasard me pousse enfin à le faire. Qu’est-ce que cela vient faire sur le blog d’une graphiste, me direz-vous ? Ceux qui me connaissent savent que je suis une grande amoureuse des animaux, une vraie (crazy) cat lady.[/vc_column_text][vc_column_text]

Moi bientôt

[/vc_column_text][vc_column_text]Il y a d’ailleurs des gens assez bizarres pour me le « reprocher ». Et c’est après l’une de ces improbables discussions que j’ai réalisé que Jean Cocteau avait raison : « Ce qu’on te reproche, cultive le, c’est toi ».

C’est cette réalisation qui m’a poussée à mettre plus de chats dans ma vie. Dans ma vie professionnelle, en tout cas, parce qu’à la maison, Wino et Ceccè sont pour l’instant bien assez.[/vc_column_text][vc_column_text]

Comment aider les animaux, donc.

J’ai commencé cet article avec l’euthanasie, mais fort heureusement, ce n’est vraiment que la plus extrême des solutions.

Il y a deux valeurs fondamentales, dans notre société, que sont le temps et l’argent. On a tous l’habitude d’échanger la première contre la seconde (et oui, votre job, 7 heures par jour, vous croyez que c’est quoi, sinon du troc ?).

Pour aider les animaux, c’est à peu près la même chose. On peut donner soit de son temps, soit de son argent.

Si on a du temps…

Les associations d’aide aux animaux sont toujours en manque de bras. Elles sont généralement faciles à trouver et à contacter pour se porter volontaire.

Ce que l’on peut y faire :

  • Trapper les chats errants afin de les faire stériliser et/ou soigner ;
  • Mettre en place des « opérations caddie » dans les supermarchés (on demande l’autorisation desdits supermarchés avant bien entendu) ;
  • Tenir un stand de vente d’objets / vêtements / gâteaux / etc. lors de foires ou de marchés ;
  • S’occuper des réseaux sociaux d’une association : diffuser les photos des animaux à adopter, les cagnottes en cours pour payer les frais de vétérinaire, encourager les adhésions, recruter de nouveaux bénévoles…
  • Organiser des événements dont les bénéfices seront reversés à une ou plusieurs associations : courses / trails, brunch, sortie pédagogique, visite patrimoniale…
  • Construire des abris pour animaux, lorsqu’une association dispose de terrains sur lesquels accueillir les chiens, chats et autres NAC ;
  • Proposer bénévolement vos services professionnels : création de site internet, photographie (de belles photos aident énormément à faire adopter les animaux abandonnés), création graphique (affiches, flyers, calendriers, objets divers…)
  • Prendre part à des manifestations : contre la corrida, contre les cirques avec animaux, contre l’expérimentation animale…
  • Partager des pétitions en ligne (après les avoir signées évidemment) ;
  • Devenir famille d’accueil : vous profitez du bonheur et de la joie qu’offre un bébé chat, le temps de lui trouver sa famille pour la vie, et vous libérez ainsi une place pour un autre animal en détresse. Généralement, les associations fournissent la nourriture et les soins dont l’animal pourrait avoir besoin, cela ne vous coûte donc rien du tout. Il y a aussi les animaux en « échec d’adoption » que la SPA place dans des familles d’accueil jusqu’à leur décès, tout en restant leur propriétaire. Plus d’infos ici.

Vous pouvez aussi, et cela demande excessivement peu de temps, donner d’anciens vêtements, des livres, des jouets, qui seront vendus au profit de l’association, ainsi que des objets destinés aux animaux directement : couvertures, plaids, laisses, bacs à litière, etc.

D’autre part, la protection animale a depuis peu investi la scène politique. Lors des élections législatives de 2017, le tout jeune parti Animaliste a pu présenter des candidats un peu partout en France. Avec des moyens très limités, leur présence a quand même été très remarquée. Encore une façon gratuite et rapide de faire quelque chose pour les animaux : un vote ! Vous pouvez aussi aider à coller les affiches 😉

 

Si on a de l’argent…

Là, c’est tout de suite plus simple. Je ne vais pas vous faire un dessin. Je vous rappelle juste que les dons à des associations d’utilité publique peuvent vous permettre de payer moins d’impôts. Tout est expliqué ici.

Il y a aussi de nombreuses cagnottes en ligne organisées par les associations lorsque les factures vétérinaires deviennent trop lourdes, notamment.

 

Solutions alternatives

Vous avez besoin de faire appel à un prestataire de services ?

Essayez d’en trouver un qui est lui-même impliqué dans la cause animale. En aidant les aidants, on aide aussi les animaux. Pour vous, cela ne change rien, mais cette simple action peut représenter plus de moyens pour une association. Il n’y a pas de « petite » action, si ce n’est celle qu’on ne prend pas.

 

Que faire pour aider les animaux quand on n’a ni temps, ni argent ?

En changeant quelques habitudes, vous pouvez aussi, simplement:

  • Diminuer votre consommation de viande et de produits laitiers ;
  • Éviter les cosmétiques testés sur animaux (liste de produits « cruelty free » ici) ;
  • Dire non à tous les produits contenant de l’huile de palme, pour que les orang-outans n’aient plus à se battre contre des bulldozers ;
  • Choisir des vêtements sans fourrure, pour qu’on fiche un peu la paix aux coyotes et aux renards (je suis sympa je ne vous mets pas de vidéo de ce qu’on leur fait subir pour agrémenter des capuches. Torturer des animaux pour des CAPUCHES. C’est ridicule).

 

Enfin, pensez aux petits gestes accessibles à tous, au quotidien : donner de l’eau aux animaux qui vivent dehors ou encore nourrir un oiseau tombé de son nid, comme le faisait souvent mon papa ❤ :[/vc_column_text][vc_column_text]

[/vc_column_text][vc_column_text]Et bien sûr, adoptez, n’achetez pas ! Un animal n’est pas une marchandise, un objet, un meuble. C’est un être vivant et sensible, comme vous.

J’espère avoir couvert le sujet aussi largement que possible, et je vous invite à proposer vos idées pour aider les animaux en laissant un commentaire ci-dessous.[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]