Spoiler : j’ai survécu 15 ans dans un métier où on pense encore que “graphiste freelance” veut dire “faire un logo pour 50€ et des exposés PowerPoint”. Et maintenant que l’intelligence artificielle débarque dans le design, il paraît que je devrais gentiment laisser la place à une machine qui bosse gratos, sans pause café, ni crise existentielle.
Eh bien… non.
1. L’IA fait des images. Moi, je fais du sens.
Oui, Midjourney et ses copains savent générer une scène « cyberpunk dystopique avec licorne holographique au crépuscule » en 8 secondes. C’est impressionnant.
Mais choisir une typo, construire une charte cohérente, penser au public cible, raconter une histoire visuelle… ça, c’est toujours un cerveau humain qui s’en occupe. Et jusqu’à preuve du contraire, le mien est encore branché.
2. Travailler avec l’IA, c’est comme bosser avec un stagiaire sous acide.
L’IA a plein d’idées. Trop, même. Des bonnes, des absurdes, des dangereuses pour les rétines.
Mon nouveau service, c’est justement ça : prendre ces idées, les trier, les affiner, les rendre utilisables. Je ne suis pas contre l’IA. Je suis contre les visuels qui ressemblent à une pub pour une secte de robots aveugles.
3. Ce que je propose aujourd’hui
- Direction artistique sur vos projets IA (oui, même ceux que vous avez « joué avec pour tester »)
- Refonte, retouche, habillage typographique, mise en cohérence
- Création de packs visuels pro à partir de vos idées IA ou prompts (ou sans IA, si vous aimez encore les humains)
Conclusion
Le design change. Je change avec. Mais je garde ce que l’IA n’a pas : du goût, de l’intuition, et un chat qui marche sur mon clavier pendant que je travaille.
Bref, je suis là, en chair, en os, et avec un peu de recul sur tout ça. Et franchement ? Ça fait du bien à vos visuels.
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