Créer le portfolio idéal

Créer le portfolio idéal

Le portfolio, à quoi ça sert?

Pour montrer à vos potentiels clients ce dont vous êtes capable, il n’y a pas mieux. Pour faire court, vous y présentez vos travaux passés, et vos compétences. C’est donc un outil professionnel d’une importance capitale, car il reflète aussi votre personnalité. Pour les gens pressés, vous pouvez essayer CarbonMade, simple et pratique.

Pour les autres, voici quelques conseils à garder en tête lors de l’élaboration de votre portfolio en ligne :

1 – Que voulez-vous montrer?

Il y a 3 façons de se présenter aux clients : un blog, un site complet, ou bien un site qui ne soit dédié qu’à vos œuvres.

2 – Restez simple
Ne perdez pas de vue l’utilité de votre portfolio. Si son but est de trouver, voire d’impressionner de nouveaux clients, ne montrez que les travaux dont vous êtes (très) fier. Si vous cherchez du travail, n’hésitez pas à le faire savoir avec un bouton ou un lien « Engagez-moi! ».

3 – Qui êtes-vous?
La page qui parle de vous est primordiale. Vos clients potentiels ont besoin de savoir qui vous êtes, vos qualifications, votes expérience, etc. N’hésitez pas à préciser ce que vous auriez mis sur un CV papier classique, à savoir votre situation familiale, vos hobbies, etc. Et pourquoi pas des commentaires de précédents clients satisfaits!

4 – Pour vous contacter…
Il n’y a pas que dans la page « A propos » qu’il faut proposer le célèbre bouton « contact ». Bien au contraire. Dès la page d’accueil, ainsi que sur toutes les autres, il trouvera sa place, car on ne sait jamais ce qui peut décider le client à vous appeler…

5 – Évitez de « gonfler » vos compétences
Par exemple, il ne sert à rien de dire que vous maîtrisez Adobe Animate si vous ne savez pas réellement créer des animations complexes.
Les travaux que vous choisissez de montrer devraient uniquement représenter vos compétences dans les domaines dans lesquels vous voulez travailler.

6 – C’est bien beau tout ça, mais quels sont les résultats?
Parce que le mots « résultats » est tout ce qui compte pour beaucoup d’entreprises, il faut leur dire ce que votre travail a apporté concrètement à vos précédents clients, avec des chiffres à l’appui si possible. Ex. : +30% de ventes grâce à un nouveau flyer.

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Création de logo en Corse : étude de cas « Vins Massei »

Création de logo en Corse : étude de cas « Vins Massei »

L’entreprise ajaccienne Vins Massei, négociant en vins, spiritueux et alcools depuis 40 ans, m’a contactée pour moderniser son image et créer un nouveau logo. Mon exercice favori 🙂

Tout le processus à été réalisé à distance, contact 100% par e-mail. Comme quoi, c’est possible 😉

La demande de la cliente était « quelque chose de moderne tout en gardant un caractère authentique ». Les mots-clés pour cette création de logo étaient « Tradition, authenticité, simplicité et modernité ». La cliente souhaite quelque chose d’épuré, avec les couleurs bordeaux, noir et blanc. En recueillant toutes les infos dont j’avais besoin via ma feuille de travail, j’ai pu proposer les 3 concepts que voici :

Logo #1

Pour cette première proposition, j’ai créé une Corse de bulles et de grains de raisin, avec le Cap évoquant le goulot d’une bouteille, afin de rappeler l’activité de la société.

Une police d’écriture manuscrite pour évoquer le côté humain et une autre plus carrée et massive qui donne de la stabilité et renforce l’image sérieuse de l’entreprise.

Logo #2

Dans cette proposition, je suis partie des lettres V et M en utilisant leur forme la plus simplifiée pour plus de sobriété. De ces formes géométriques naît un symbole unique et reconnaissable qui pourrait tout à fait être utilisé seul.

Le tout dans un carré pour évoquer le sérieux et la stabilité.

J’ai ajouté une Corse stylisée qui se marie avec les autres formes présentes.

Les polices d’écriture sont sobres et très lisibles, intemporelles grâce à leur simplicité.

Logo #3

Dans cette 3e proposition, j’ai opté pour un design dans l’air du temps, encore basé sur les lettres V et M, dans une grande simplification graphique. Le losange apporte du dynamisme et le petit triangle rouge évoque le vin dans le verre que crée la lettre V. Du rouge, du gris, du noir et du blanc créent une image à la fois marquante et sobre.

Les polices d’écriture apportent un cachet plus «traditionnel». L’emploi de majuscules donne un socle au losange, apportant de la stabilité.

Le mot de la cliente

Après concertation avec les membres de la famille, nous trouvons que le premier logo est en adéquation parfaite avec les valeurs et l’image que nous souhaitons donner à l’entreprise.

https://www.instagram.com/p/CAmrJBhqavj/?utm_source=ig_web_copy_link

Au final c’est donc la toute première idée qui fut retenue, sans aucune demande de modification (#NouvelleClientePréférée). Personnellement j’avais un faible pour la numéro 3.

Et vous, quel est votre préféré ?

Vous avez un projet de création ou de refonte de logo ? Vous souhaitez une nouvelle identité visuelle pour votre entreprise ou votre produit ? Rendez-vous sur cette page pour plus d’informations sur mon processus de création de logo.

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Kalli Graphic part à la conquête de l’Amérique

Kalli Graphic part à la conquête de l’Amérique

L’un des grands avantages de la vie de freelance, c’est de ne pas être dépendant d’un lieu physique pour pouvoir travailler. Un ordinateur, une connexion internet et c’est parti !

Pendant un mois et demi, je serai en vadrouille aux États-Unis : à San Francisco du 27 avril au 11 mai, à New-York du 14 mai au 11 juin. Et entre les deux ? Dans un train !

80 heures d’un voyage que j’anticipe avec délectation 🙂 Un rêve de gamine !

Je reste disponible pour toutes vos créations graphiques, mais avec un méchant décalage horaire :

-9h du 29/04 au 11/05

-6h du 15/05 au 11/06

First Stop : California

Les 2 premières semaines, à Sausalito, à côté de San Francisco, mon bureau ressemble à ça :

California office Sausalito Kalli Graphic travelpreneur freelance
Le petigrochat c’est la très bavarde Lucy 🙂

Avec un tel décalage horaire, le programme est simple : le matin je travaille (quand il est déjà 17h en Corse), et le reste de la journée est dédié aux visites. Aujourd’hui 6 mai c’est Alcatraz 🙂

Mes photos californiennes sur Instagram

 

Le train !

Oh my God, j’attendais ça avec tellement d’impatience ! Nous avons choisi de rejoindre New-York depuis San Francisco par le train. 80 heures de trajet prévues (dont 6 heures d’escale à Chicago avant changement de train), plus de 4000km, 11 états à traverser… Le rêve 🙂

Le trajet s’effectue donc avec 2 trains : le California Zephyr de San Francisco à Chicago, puis le Lake Shore Limited de Chicago à New-York.

Escale à Chicago

La belle surprise de ce voyage : Chicago est ma-gni-fique ! La couleur de la rivière est incroyable, ses abords ensoleillés et aménagés invitent à la détente. Et le lac Michigan est splendide ! 6 heures dans la ville à courir partout pour en voir le plus possible, et une grande envie de revenir en prenant le temps…

New York City

Nous débarquons donc le 14 mai à New York, pour 4 semaines exactement. Au programme : rien de spécial ! Ce n’est pas notre première visite dans la Grosse Pomme, donc nous allons nous contenter d’y vivre et d’y travailler comme nous le faisons chez nous 🙂

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Escapade à Philadelphie

En seulement 2 heures de bus depuis New York, on se retrouve à Philadelphie, berceau de l’histoire des États-Unis. En un peu moins de 2 jours, j’ai pu facilement voir l’essentiel de cette « petite » ville très agréable à visiter. Musées d’histoire, pretzels et bière sont au programme ici 🙂

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Le packaging luxe

Le packaging luxe

Je ne sais pas vous, mais en ce qui me concerne, j’ai déjà acheté des produits juste à cause de leur emballage.

Mais comment jugeons-nous du caractère luxueux d’un produit, a fortiori quand celui-ci est encore emballé ?

J’ai mené l’enquête et relevé les caractéristiques qui font que, en un coup d’œil, nous percevons le luxe via le packaging.

Comme nous sommes des créatures de sens, c’est par l’usage de ces derniers que nous tirons nos conclusions. Le packaging de luxe va donc jouer sur nos sensations pour instiller en nous la confiance nécessaire à l’achat d’un produit onéreux.

 

1. La vue

Les premiers éléments qui nous indiquent que nous sommes face à un packaging de luxe passent par nos yeux :

  • La couleur : le luxe ne fait généralement pas dans la fantaisie. Noir, blanc, beige, gris, c’est le quatuor de tête pour le packaging des industries haut de gamme.
  • La brillance / matité : le contraste produit par l’utilisation d’un fond mat accueillant un texte ou logo brillant (que ce soit avec du vernis, sans impression, ou avec une dorure or ou argent) est un classique du packaging de luxe.
  • Le minimalisme : less is more, on ne le répètera jamais assez. Concernant les éléments graphiques d’un habillage de packaging, tout comme Coco Chanel le disait à propos des accessoires, il faut toujours enlever les derniers que l’on a mis. La typographie également doit être soignée (on évite le Comic Sans MS, je préfère le répéter).

2. Le toucher

Les emballages des produits de luxe ont recours à des matières plus onéreuses que leurs homologues bas de gamme : velours et satin en tête de peloton. Des papiers plus épais, souvent texturés, sont également fréquemment utilisés, avec du gaufrage pour créer du relief, ou encore du vernis, qui viennent ajouter des sensations sous nos doigts.


3. L’ouïe

Vous savez le bruit que fait le plastique d’un emballage de CD ? Et bien c’est tout ce que l’on veut éviter dans le packaging luxe. On préfèrera des coffrets qui se referment dans un souffle, des sons lourds et étouffés, des glissements de nœuds de satin qui se défont…

 

4. L’odorat

Même si l’on n’est pas obligé de parfumer ses emballages à grands renforts d’effluves de luxe, on peut toutefois éviter qu’ils ne sentent le plastique d’entrepôt. Une odeur neutre sera toujours plus avantageuse. Mais si l’on peut ajouter un parfum discret dans le papier, par exemple, ce sera un plus.

 

5. Le goût

Non, désolée, mais on ne mange ni ne lèche les emballages. Ce sens-là, on l’oublie pour notre packaging de luxe.


Les petits trucs en plus

Pour compléter notre packaging de luxe, on peut également penser à :

  • Des détails de fermeture : ruban, aimant, bouton…
  • Du mystère : créer de l’anticipation en multipliant les emballages
  • La qualité : on évite ce qui peut facilement se froisser, se décoller, se désintégrer…

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10 raisons de choisir un(e) graphiste freelance quand on est un(e) jeune chef d’entreprise

10 raisons de choisir un(e) graphiste freelance quand on est un(e) jeune chef d’entreprise

Vous avez créé votre entreprise et avez maintenant besoin de lui donner une image et de la faire connaître.

Pour créer votre logo, identité visuelle, charte graphique, site internet, vos flyers, prospectus, dépliants… vous êtes à la recherche d’un professionnel de la communication. Vous faites alors face à 2 possibilités : passer par une agence de communication ou bien faire appel à un graphiste indépendant, un « freelance ».

Pour avoir travaillé 3 ans en agence de communication à Bastia avant de devenir freelance en 2010, je peux vous parler de différences significatives que j’ai rencontrées :

1. Le graphiste indépendant coûte généralement moins cher qu’une agence

La raison principale est simple : un freelance n’a pas besoin de bureaux et paie moins de charges sociales, selon le statut choisi. La différence de tarif en résultant est bien souvent très conséquente : il n’est pas rare qu’une agence facture deux fois plus qu’un indépendant !

 

2. Le graphiste freelance travaille vite

Comme évoqué plus haut, l’indépendant a moins de charges qu’une agence de communication, ce qui fait qu’il a également besoin de moins de clients. Vous serez donc servis plus rapidement. Je me souviens, lorsque je travaillais en agence, d’un client qui attendait son logo depuis… 1 an ! En ce qui me concerne, la livraison d’un logo intervient en moyenne moins d’un mois après commande…

De plus, la réalité fait qu’un freelance prend généralement moins de congés qu’un salarié d’agence de communication, ce qui évite de prolonger votre attente.

 

3. Le graphiste freelance travaille bien

Seul maître à bord, il ne pourra pas faire rattraper son travail par un collègue ! De plus, la qualité du travail d’un graphiste indépendant est sa seule vraie carte de visite. Sa réputation est en jeu à chaque projet, avec chaque client. Pas le droit à l’erreur ! Il fera tout pour vous satisfaire.

 

4. Le graphiste indépendant est passionné

Ce n’est pas un métier que l’on choisit par hasard ou parce qu’on ne sait pas quoi faire d’autre. Et si l’on a travaillé en agence de communication, on se rend vite compte que l’on est bridé par des supérieurs qui n’ont pas forcément la même conception de la créativité.

Ma décision de devenir indépendante en 2010 a été en grande partie motivée par ce besoin que j’avais de pouvoir proposer à mes clients mes créations telles que je les envisageais, sans qu’elles aient à passer par le filtre frileux et conventionnel de quelques personnes mues par la crainte de ne pas plaire…

De plus, la motivation d’un graphiste indépendant sera toujours plus importante que celle d’un employé d’agence payé au lance-pierre qui ne fera que le minimum qu’on lui demande, sachant le manque de reconnaissance qui l’attend.

 

5. Le graphiste freelance est votre interlocuteur unique

Étant la seule personne s’occupant de votre projet, il en connaît tous les détails. Vous ne serez pas filtré par une secrétaire, ou vous n’aurez pas à réexpliquer 3 fois ce que vous souhaitez à un chef de projet qui débarque ou au graphiste remplaçant celle qui s’occupait de vous avant son congé maternité…

 

6. Le graphiste indépendant est flexible et mobile

Maître de son emploi du temps et le plus souvent sans bureau fixe, votre graphiste freelance sera plus à même de se déplacer pour vous rencontrer, sans avoir à organiser cela des semaines à l’avance avec sa direction…

 

7. Le graphiste freelance a souvent un réseau de professionnels indépendants

Même si la plupart des graphistes indépendants sont multi-tâches et savent gérer des projets multimédia, il y a beaucoup de métiers qui gravitent autour de son activité : photographie, développement web, montage vidéo… Il y a de fortes chances pour que votre entreprise ait un jour besoin de ces compétences, et votre graphiste indépendant peut vous mettre en relation avec des pros. Un gain de temps pour vous !

 

8. Le graphiste indépendant est plus appliqué

Comme nous l’avons vu précédemment, une agence de communication a besoin de beaucoup plus de clients qu’un graphiste indépendant pour se maintenir à flots, ce qui implique aussi d’avoir moins de temps à consacrer à chaque projet. Lorsque j’étais employée en agence, j’avais parfois l’impression de travailler à la chaîne : « Flora, tu as une heure pour faire ce logo ! ». Même si le travail dans l’urgence peut parfois donner de bons résultats, je préfère quand même prendre le temps de faire quelque chose de réfléchi, qui a du sens. Et seul le statut d’indépendant permet cela.

 

9. Le graphiste freelance est plus audacieux

Lorsque l’on travaille pour soi et que notre réputation est tellement importante dans notre carrière, on veut faire toujours mieux, innovant, différent, afin de ne pas se faire dépasser par les « nouveaux », qui débarquent toujours plus nombreux sur le marché des freelance. Cette compétition, saine, nous oblige à oser, à sortir de notre zone de confort. Donc si vous voulez de l’originalité, faites appel à un graphiste indépendant.

 

10. Un graphiste freelance se cache peut-être dans une agence

Si malgré ces 9 bonnes raisons, vous décidiez quand même de confier vos projets de communication à une agence, sachez qu’il se peut très bien que celle-ci sous-traite ses projets à un freelance ! Mais elle vous facturera sa commission au passage…

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