Création de logo en Corse : étude de cas « Vins Massei »

Création de logo en Corse : étude de cas « Vins Massei »

L’entreprise ajaccienne Vins Massei, négociant en vins, spiritueux et alcools depuis 40 ans, m’a contactée pour moderniser son image et créer un nouveau logo. Mon exercice favori 🙂

Tout le processus à été réalisé à distance, contact 100% par e-mail. Comme quoi, c’est possible 😉

La demande de la cliente était « quelque chose de moderne tout en gardant un caractère authentique ». Les mots-clés pour cette création de logo étaient « Tradition, authenticité, simplicité et modernité ». La cliente souhaite quelque chose d’épuré, avec les couleurs bordeaux, noir et blanc. En recueillant toutes les infos dont j’avais besoin via ma feuille de travail, j’ai pu proposer les 3 concepts que voici :

Logo #1

Pour cette première proposition, j’ai créé une Corse de bulles et de grains de raisin, avec le Cap évoquant le goulot d’une bouteille, afin de rappeler l’activité de la société.

Une police d’écriture manuscrite pour évoquer le côté humain et une autre plus carrée et massive qui donne de la stabilité et renforce l’image sérieuse de l’entreprise.

Logo #2

Dans cette proposition, je suis partie des lettres V et M en utilisant leur forme la plus simplifiée pour plus de sobriété. De ces formes géométriques naît un symbole unique et reconnaissable qui pourrait tout à fait être utilisé seul.

Le tout dans un carré pour évoquer le sérieux et la stabilité.

J’ai ajouté une Corse stylisée qui se marie avec les autres formes présentes.

Les polices d’écriture sont sobres et très lisibles, intemporelles grâce à leur simplicité.

Logo #3

Dans cette 3e proposition, j’ai opté pour un design dans l’air du temps, encore basé sur les lettres V et M, dans une grande simplification graphique. Le losange apporte du dynamisme et le petit triangle rouge évoque le vin dans le verre que crée la lettre V. Du rouge, du gris, du noir et du blanc créent une image à la fois marquante et sobre.

Les polices d’écriture apportent un cachet plus «traditionnel». L’emploi de majuscules donne un socle au losange, apportant de la stabilité.

Le mot de la cliente

Après concertation avec les membres de la famille, nous trouvons que le premier logo est en adéquation parfaite avec les valeurs et l’image que nous souhaitons donner à l’entreprise.

https://www.instagram.com/p/CAmrJBhqavj/?utm_source=ig_web_copy_link

Au final c’est donc la toute première idée qui fut retenue, sans aucune demande de modification (#NouvelleClientePréférée). Personnellement j’avais un faible pour la numéro 3.

Et vous, quel est votre préféré ?

Vous avez un projet de création ou de refonte de logo ? Vous souhaitez une nouvelle identité visuelle pour votre entreprise ou votre produit ? Rendez-vous sur cette page pour plus d’informations sur mon processus de création de logo.

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10 anni ! 10 leçons apprises en 10 ans de freelance

10 anni ! 10 leçons apprises en 10 ans de freelance

Kalli Graphic fête ses 10 ans !

Je suis entrée dans la vie active en février 2007, en tant que webdesigner dans une agence de communication bastiaise. Mais mon rêve depuis toujours était de travailler pour moi. Et plus exactement :

  • De chez moi : ☑️
  • En pyjama : ☑️
  • Avec mes chats : ☑️

Se lancer dans l’indépendance au lieu de garder le confort et la sécurité (très relative) d’un salaire, ce n’est pas évident, mais à 24 ans, on n’a peur de (presque) rien. Depuis 10 ans, j’ai appris beaucoup de choses sur moi-même, sur les autres et aussi sur la vie de freelance.

10 leçons apprises en 10 ans de freelance !

1. Toujours demander un acompte et faire signer le devis

Leçon n°1 absolue pour tous les travailleurs indépendants de ce monde : d’abord les sous, ensuite le travail.

Il ne m’est arrivé qu’une fois (mais c’est toujours une fois de trop) de traîner un client au tribunal pour non-paiement. La procédure fut longue (2 ans) mais j’ai fini par obtenir la somme due, minorée des frais de justice évidemment… Avoir des preuves de paiement d’acomptes et les devis signés est une nécessité. Des e-mails peuvent aussi servir de preuves de lien entre vous et le client.

2. Ne pas avoir peur de virer un client, ça fera de la place pour un meilleur

En 10 ans, j’ai dû mettre fin à 3 ou 4 relations de travail. Quand on ne supporte plus de travailler avec un client, qu’on n’a pas envie de le voir, ni de l’entendre, que le simple fait de voir son nom s’afficher sur son téléphone nous oppresse, il faut arrêter. En ce qui me concerne, le plus souvent c’est l’abus de « plus gros le logo, non finalement plus petit, et le vert est trop vert » qui met fin à ma patience. J’aime mon travail et je pense sincèrement que les détails ont leur importance, mais à un moment donné, du vert c’est du vert, et le temps c’est de l’argent. La santé mentale, c’est plus important que la taille du logo. Et si mon travail m’enthousiasme au lieu de m’asphyxier, je ne le ferai que mieux ! La loi de l’attraction nous dit de suivre la joie, je m’efforce de ne pas l’oublier. Encore faut-il lui laisser de la place…

3. Suivre des formations pour rester au top et/ou envisager une reconversion

En étant graphiste affiliée à la Maison des artistes (statut d’artiste auteur), j’ai accès via l’Afdas à de très nombreuses formations. L’Afdas peut financer une ou plusieurs formations par personne et par an, dans la limite de 7200 euros. C’est un statut très avantageux et il serait dommage de ne pas en profiter. J’ai pu bénéficier d’une formation en scénographie d’une durée d’1 mois, une autre en photoreportage, et la dernière concernait la 3D avec SketchUp. Se former permet d’ouvrir des perspectives, de gagner de nouveaux marchés, ou de changer de trajectoire professionnelle. On n’est jamais trop vieux pour avoir un nouveau rêve !

4. Sortir de l’isolement pour se faire un réseau

En 2013 j’ai rejoint l’espace de travail partagé Bastia Coworking. Mon chiffre d’affaires a doublé. Coïncidence ? je ne crois pas. Les clients des uns deviennent les clients des autres, des événements professionnels permettent de rencontrer toujours plus de monde, etc. Même si j’adore rester chez moi avec mes chats, avoir accès à un tel espace m’a permis de me développer, de donner un cadre à mon travail, notamment niveau horaires, et de me faire des amis pour la vie.

5. Les réseaux sociaux ne servent pas à grand chose

Une grosse perte de temps, pour être honnête. Vous créez votre entreprise, vous vous empressez de créer sa page Facebook, vous demandez à tous vos amis de l’aimer, de la partager, tous les jours, vous voyez le nombre d’abonnés grimper, vous êtes content… mais la grand-mère de votre camarade d’école, qui a déménagé à 500km depuis la dernière fois que vous vous êtes vus, est-elle vraiment une cible pour votre entreprise ? Même si ce réseau est un peu l’équivalent du bouche à oreille en mode virtuel, il y a peu de chances qu’il vous aide réellement à progresser. Pour ma part, il n’y a que sur Instagram que j’obtiens quelques résultats, mais je n’y consacre pas trop de temps car en 10 ans, j’ai compris que le vrai pouvoir de la communication réside dans le fait de s’adresser au bon public. De plus, si Facebok, Instagram et Twitter fermaient demain, que deviendraient vos followers ? Ils appartiennent au réseau social, vous n’avez pas « la main » dessus, contrairement à votre carnet d’adresses e-mail. D’où la leçon n°6 :

6. Le meilleur canal de promo gratuit (hors bouche à oreille) est la newsletter

Grâce à des services tels que Mailchimp ou Sendinblue, vous pouvez envoyer votre newsletter à des milliers de personnes gratuitement. Le pouvoir de ce medium est la qualification de vos contacts : les personnes qui vous ont donné leur adresse mail sont vraiment intéressées par ce que vous faites. En 2011 déjà j’écrivais sur le sujet : Créer une newsletter efficace (gratuitement !). Sans chercher à vendre vos services à tout prix dans chaque envoi, essayez de garder à l’esprit ce que chacune de vos newsletters doit apporter aux personnes qui vont les ouvrir : des informations, des conseils, de l’actualité, des nouveautés, des offres promotionnelles…

7. Promettre peu et livrer plus

Parfois de petites attentions peuvent faire forte impression. Par exemple, lorsque je crée un logo, je n’envoie pas mes pistes graphiques tout juste sorties d’Illustrator sur des pages blanches. J’ai créé un support de plusieurs pages qui intègre mes propositions dans des « mock-ups ». Ce sont des maquettes que l’on trouve facilement sur Internet, pour présenter de façon réaliste les documents ou logos créés, et ça ressemble à ça :

Pour les logos, j’accompagne également mes devis d’un petit « guide » de quelques pages que j’ai créé pour donner des idées d’utilisation du futur logo. Cela ne m’a pas pris beaucoup de temps, ça s’adapte à la plupart des cas de figure car c’est assez généraliste, et c’est un petit plus qui m’apporte de la crédibilité tout en faisant plaisir au prospect.

8. Savoir poser des limites : horaires de travail, appels…

Si avoir un bureau hors de la maison aide beaucoup à structurer ses journées, encore faut-il imposer les mêmes limites à nos clients : on évite donc de répondre aux appels passés l’heure que l’on a fixée comme étant la fin de la journée de travail. Idem pour les mails, on attend le lendemain pour y répondre, ou bien on utilise la fonction « Programmer l’envoi » de Gmail pour que, même si on l’écrit en plein milieu de la nuit, le mail ne parte qu’à l’heure décidée, laissant le destinataire penser que l’on n’est bien actif que pendant une certaine plage horaire.

Freelance ne veut pas dire 7j/7 et 24h/24.

9. Ne pas avoir peur de réclamer l’argent dû : la honte est du côté de celui qui ne paie pas !

Il y a 10 ans, quand j’ai eu à réclamer pour la première fois le paiement d’une facture qui tardait trop, j’étais atrocement mal à l’aise. J’avais l’impression de faire la manche. Ça paraît fou, n’est-ce pas ? Ça l’est !

Aujourd’hui j’insiste lourdement, en faisant parfois même usage de la clause des conditions générales de vente que le client a signées et stipulant que « tout retard de paiement pourra donner lieu à des pénalités de retard exigibles sans rappel, au taux de 10% de la facture totale par mois de retard« . Parce que non, je ne peux pas payer les croquettes de mes chats en passion ou en visibilité #gratuiste.

10. S’octroyer des vacances pour éviter le burn out

Et ce n’est pas pour rien que je la mets en dernier, cette leçon. Il m’a fallu 8 ans pour me rendre compte que non seulement je n’avais jamais pris de vraies vacances, mais qu’en plus c’était en train de me donner envie de changer de métier. J’ai donc réussi, en 2019, à partir loin et longtemps ⤵️

Ce qu’il faut retenir concernant les vacances, c’est avant tout que l’on doit se faire passer en premier lorsque l’on est freelance. Si on déraille, c’est toute notre vie qui peut dérailler. Se reposer, faire du sport, dormir suffisamment, déconnecter. Que l’on se rassure : non, le monde ne va pas arrêter de tourner 😉

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Le packaging luxe

Le packaging luxe

Je ne sais pas vous, mais en ce qui me concerne, j’ai déjà acheté des produits juste à cause de leur emballage.

Mais comment jugeons-nous du caractère luxueux d’un produit, a fortiori quand celui-ci est encore emballé ?

J’ai mené l’enquête et relevé les caractéristiques qui font que, en un coup d’œil, nous percevons le luxe via le packaging.

Comme nous sommes des créatures de sens, c’est par l’usage de ces derniers que nous tirons nos conclusions. Le packaging de luxe va donc jouer sur nos sensations pour instiller en nous la confiance nécessaire à l’achat d’un produit onéreux.

 

1. La vue

Les premiers éléments qui nous indiquent que nous sommes face à un packaging de luxe passent par nos yeux :

  • La couleur : le luxe ne fait généralement pas dans la fantaisie. Noir, blanc, beige, gris, c’est le quatuor de tête pour le packaging des industries haut de gamme.
  • La brillance / matité : le contraste produit par l’utilisation d’un fond mat accueillant un texte ou logo brillant (que ce soit avec du vernis, sans impression, ou avec une dorure or ou argent) est un classique du packaging de luxe.
  • Le minimalisme : less is more, on ne le répètera jamais assez. Concernant les éléments graphiques d’un habillage de packaging, tout comme Coco Chanel le disait à propos des accessoires, il faut toujours enlever les derniers que l’on a mis. La typographie également doit être soignée (on évite le Comic Sans MS, je préfère le répéter).

2. Le toucher

Les emballages des produits de luxe ont recours à des matières plus onéreuses que leurs homologues bas de gamme : velours et satin en tête de peloton. Des papiers plus épais, souvent texturés, sont également fréquemment utilisés, avec du gaufrage pour créer du relief, ou encore du vernis, qui viennent ajouter des sensations sous nos doigts.


3. L’ouïe

Vous savez le bruit que fait le plastique d’un emballage de CD ? Et bien c’est tout ce que l’on veut éviter dans le packaging luxe. On préfèrera des coffrets qui se referment dans un souffle, des sons lourds et étouffés, des glissements de nœuds de satin qui se défont…

 

4. L’odorat

Même si l’on n’est pas obligé de parfumer ses emballages à grands renforts d’effluves de luxe, on peut toutefois éviter qu’ils ne sentent le plastique d’entrepôt. Une odeur neutre sera toujours plus avantageuse. Mais si l’on peut ajouter un parfum discret dans le papier, par exemple, ce sera un plus.

 

5. Le goût

Non, désolée, mais on ne mange ni ne lèche les emballages. Ce sens-là, on l’oublie pour notre packaging de luxe.


Les petits trucs en plus

Pour compléter notre packaging de luxe, on peut également penser à :

  • Des détails de fermeture : ruban, aimant, bouton…
  • Du mystère : créer de l’anticipation en multipliant les emballages
  • La qualité : on évite ce qui peut facilement se froisser, se décoller, se désintégrer…

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10 raisons de choisir un(e) graphiste freelance quand on est un(e) jeune chef d’entreprise

10 raisons de choisir un(e) graphiste freelance quand on est un(e) jeune chef d’entreprise

Vous avez créé votre entreprise et avez maintenant besoin de lui donner une image et de la faire connaître.

Pour créer votre logo, identité visuelle, charte graphique, site internet, vos flyers, prospectus, dépliants… vous êtes à la recherche d’un professionnel de la communication. Vous faites alors face à 2 possibilités : passer par une agence de communication ou bien faire appel à un graphiste indépendant, un « freelance ».

Pour avoir travaillé 3 ans en agence de communication à Bastia avant de devenir freelance en 2010, je peux vous parler de différences significatives que j’ai rencontrées :

1. Le graphiste indépendant coûte généralement moins cher qu’une agence

La raison principale est simple : un freelance n’a pas besoin de bureaux et paie moins de charges sociales, selon le statut choisi. La différence de tarif en résultant est bien souvent très conséquente : il n’est pas rare qu’une agence facture deux fois plus qu’un indépendant !

 

2. Le graphiste freelance travaille vite

Comme évoqué plus haut, l’indépendant a moins de charges qu’une agence de communication, ce qui fait qu’il a également besoin de moins de clients. Vous serez donc servis plus rapidement. Je me souviens, lorsque je travaillais en agence, d’un client qui attendait son logo depuis… 1 an ! En ce qui me concerne, la livraison d’un logo intervient en moyenne moins d’un mois après commande…

De plus, la réalité fait qu’un freelance prend généralement moins de congés qu’un salarié d’agence de communication, ce qui évite de prolonger votre attente.

 

3. Le graphiste freelance travaille bien

Seul maître à bord, il ne pourra pas faire rattraper son travail par un collègue ! De plus, la qualité du travail d’un graphiste indépendant est sa seule vraie carte de visite. Sa réputation est en jeu à chaque projet, avec chaque client. Pas le droit à l’erreur ! Il fera tout pour vous satisfaire.

 

4. Le graphiste indépendant est passionné

Ce n’est pas un métier que l’on choisit par hasard ou parce qu’on ne sait pas quoi faire d’autre. Et si l’on a travaillé en agence de communication, on se rend vite compte que l’on est bridé par des supérieurs qui n’ont pas forcément la même conception de la créativité.

Ma décision de devenir indépendante en 2010 a été en grande partie motivée par ce besoin que j’avais de pouvoir proposer à mes clients mes créations telles que je les envisageais, sans qu’elles aient à passer par le filtre frileux et conventionnel de quelques personnes mues par la crainte de ne pas plaire…

De plus, la motivation d’un graphiste indépendant sera toujours plus importante que celle d’un employé d’agence payé au lance-pierre qui ne fera que le minimum qu’on lui demande, sachant le manque de reconnaissance qui l’attend.

 

5. Le graphiste freelance est votre interlocuteur unique

Étant la seule personne s’occupant de votre projet, il en connaît tous les détails. Vous ne serez pas filtré par une secrétaire, ou vous n’aurez pas à réexpliquer 3 fois ce que vous souhaitez à un chef de projet qui débarque ou au graphiste remplaçant celle qui s’occupait de vous avant son congé maternité…

 

6. Le graphiste indépendant est flexible et mobile

Maître de son emploi du temps et le plus souvent sans bureau fixe, votre graphiste freelance sera plus à même de se déplacer pour vous rencontrer, sans avoir à organiser cela des semaines à l’avance avec sa direction…

 

7. Le graphiste freelance a souvent un réseau de professionnels indépendants

Même si la plupart des graphistes indépendants sont multi-tâches et savent gérer des projets multimédia, il y a beaucoup de métiers qui gravitent autour de son activité : photographie, développement web, montage vidéo… Il y a de fortes chances pour que votre entreprise ait un jour besoin de ces compétences, et votre graphiste indépendant peut vous mettre en relation avec des pros. Un gain de temps pour vous !

 

8. Le graphiste indépendant est plus appliqué

Comme nous l’avons vu précédemment, une agence de communication a besoin de beaucoup plus de clients qu’un graphiste indépendant pour se maintenir à flots, ce qui implique aussi d’avoir moins de temps à consacrer à chaque projet. Lorsque j’étais employée en agence, j’avais parfois l’impression de travailler à la chaîne : « Flora, tu as une heure pour faire ce logo ! ». Même si le travail dans l’urgence peut parfois donner de bons résultats, je préfère quand même prendre le temps de faire quelque chose de réfléchi, qui a du sens. Et seul le statut d’indépendant permet cela.

 

9. Le graphiste freelance est plus audacieux

Lorsque l’on travaille pour soi et que notre réputation est tellement importante dans notre carrière, on veut faire toujours mieux, innovant, différent, afin de ne pas se faire dépasser par les « nouveaux », qui débarquent toujours plus nombreux sur le marché des freelance. Cette compétition, saine, nous oblige à oser, à sortir de notre zone de confort. Donc si vous voulez de l’originalité, faites appel à un graphiste indépendant.

 

10. Un graphiste freelance se cache peut-être dans une agence

Si malgré ces 9 bonnes raisons, vous décidiez quand même de confier vos projets de communication à une agence, sachez qu’il se peut très bien que celle-ci sous-traite ses projets à un freelance ! Mais elle vous facturera sa commission au passage…

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